Moi, ce que j'aime, c'est les monstres. Livre premier

BD Adulte

Ferris, Emil (1962-....). Auteur

Edité par Monsieur Toussaint Louverture. [Toulouse] - 2018

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Résumé :

Chicago, fin des années 1960. Karen Reyes, dix ans, adore les fantômes, les vampires et autres morts-vivants. Elle s'imagine même être un loup-garou. Le jour de la Saint-Valentin, sa voisine, la belle Anka Silverberg, se suicide d'une balle dans le coeur. Karen qui n'y croit pas, décide d'élucider ce mystère. Elle va découvrir qu'entre le passé d'Anka dans l'Allemagne nazie, son quartier prêt à s'embraser et les secrets tapis dans l'ombre de son quotidien, les monstres sont des êtres comme les autres. Journal intime d'une artiste prodige, c'est l'histoire magnifiquement contée d'une fascinante enfant. Dans cette oeuvre magistrale, à la fois enquête, drame familial et témoignage historique, Emil Ferris tisse un lien personnel entre un expressionnisme féroce et l'univers de Maurice Sendak. Journal intime d'une artiste prodige, Moi, ce que j'aime, c'est les monstres est un kaléidoscope brillant d'énergie et d'émotions, l'histoire magnifiquement contée d'une fascinante enfant. Dans cette oeuvre magistrale, tout à la fois enquête, drame familial et témoignage historique, Emil Ferris tisse un lien infiniment personnel entre un expressionnisme féroce, les hachures d'un Crumb et l'univers de Maurice Sendak.

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Moi, ce que j'aime, c'est les monstres

BD Adulte

/ Ferris, Emil .- Monsieur Toussaint Louverture. [Toulouse] , 2018

Chicago, années 1960. Karen Reyes, 10 ans, se passionne pour les fantômes, les vampires et les créatures du même genre. Elle-même préfère s'imaginer en loup-garou qu'en femme. Lorsque sa voisine Anka Silverberg, survivante de la S...

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Avis

Avis des professionnels

  • Une œuvre hors normes 5/5

    Voilà un album hors normes à tout point de vue : par sa genèse (l’autrice, partiellement paralysée, a mis 6 ans à le dessiner), par son format (l’album fait 800 pages, ce volume ne constituant que la première partie), par son graphisme (entièrement réalisé au stylo bille sur des cahiers quadrillés), par son récit ambitieux (qui entremêle l’histoire de Karen, 10 ans, dans le Chicago des années 60, et celle de sa voisine du dessus, Anka, Allemande rescapée des camps de la mort et décédée dans des circonstances mystérieuses). Le tout procure un véritable choc de lecture comme on en rencontre rarement en BD.

    Stéphane (Bibliothèque départementale de la Vienne) - Le 19 novembre 2018 à 15:42

Avis des lecteurs

  • Attention : Chef d'oeuvre ! 5/5

    Un roman graphique vertigineux

    Carole (Médiathèque Les Ormes) - Le 22 mai 2019 à 14:50
  • 5/5

    Raphaëlle DELMAS - Le 20 novembre 2018 à 14:37
  • Incontournable, curieux, inventif, inratable... 5/5

    Conçu comme le journal intime d'une artiste surdouée et à l’histoire de vie incroyable, cette bande dessinée est époustouflante. Ne pas s’arrêter au nombre de pages, mais plonger dans un univers graphique digne des plus grands et un scénario ciselé qui vaut déjà à Emil Ferris d’être reconnue par ses pairs comme une grande…

    Agnès Bozec - Le 18 octobre 2018 à 16:05